Lavett – Chronique « Find Your Purpose »

On ne se moque pas du nom du groupe svp. Sinon il y a longtemps que Dragonforce ou Hammerfall serait interdit par la convention de Genève.
Sous ce nom ridicule tout de même, se cache le nouveau groupe où Daniel Heiman officie.

Ce mec, relativement inconnu est pourtant sans conteste la plus belle voix Metal dans le registre Kiske/Dickinson, et après avoir essuyé l’injuste échec de l’excellent groupe Heed, le revoilà dans un registre moins foncièrement Metal.

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Jeff Scott Soto – Chronique de « Damage Control »

Ce grand chanteur, qui a collaboré à presque autant d’albums que Joey de Maio n’a descendu de bières revient avec un CD très rock.

Son précédent effort s’était éloigné de ces racines pour quelque chose de plus pop, et quoi que réussi, il est toujours agréable d’entre la fabuleuse voix du sieur Soto oeuvrer sur de bonnes guitares.

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Adrenaline Mob – Chronique de « Omerta »

Voilà un album qui divise, c’est le moins que l’on puisse dire !

Alors que la polémique fait rage sur le net, et que nombreux sont ceux qui crient à la trahison, on sent que Portnoy, Allen & co ont voulu faire un album totalement différent de leurs horizons habituels. L’intention est plus que louable, surtout quand l’entreprise se révèle réussie. (pas de blagues sur Lulu svp)

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Nightwish – Chronique de « Imaginaerum »

Après le relativement décrié « Dark Passion Play » qui m’avait personnellement beaucoup plu, Nightwish devait taper plus fort que tout pour contenter tout le monde.

C’est objectivement chose faite, car l’album est en effet incroyablement ambitieux :
Trop en ce qui me concerne.

Nightwish s’est perdu dans trop d’arrangements, d’ambiance, et a perdu le subtil équilibre qui faisait sa force sur le grandiose « Once » par exemple.

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Overkill – Chronique de « The Electric Age »

Overkill est définitivement infatigable !

Après un « Ironbound » à la qualité totalement inattendue suivant quelques albums en roue libre, revoilà les gars de Brooklyn avec un album presque aussi bon.

Presque car, le ton est exactement le même, l’effet de surprise est donc moindre. Les chansons des deux albums auraient pu être enregistrées lors des mêmes sessions. Du coup, ce qu’on perd en surprise, on le gagne en qualité, et ce « The Electric Age » est excellent. Le son est énormissime, et l’album est très rapide : 6 chansons sur 10 ont des tempos franchement furieux, et les quatre autres sont loin de se trainer !

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