Ce grand chanteur, qui a collaboré à presque autant d’albums que Joey de Maio n’a descendu de bières revient avec un CD très rock.
Son précédent effort s’était éloigné de ces racines pour quelque chose de plus pop, et quoi que réussi, il est toujours agréable d’entre la fabuleuse voix du sieur Soto oeuvrer sur de bonnes guitares.
Autant lever le mystère tout de suite, c’est surement son album solo le plus réussi avec « Lost In Translation » et ce n’est pas la très accrocheuse triplette de titres débutant l’album qui me fera mentir.
Il convient toutefois de préciser que le tout est très orienté 80’s, et que de petits claviers un poil désuets font leur apparition ici et là. Fan de Fear Factory, passe ton chemin.
Tout reste très classique, parfois un rien daté c’est vrai, mais les mélodies et l’interprétation sans faille rendent ces 50 minutes très agréables.
A écouter au volant d’une décapotable sur une highway californienne, avec la planche de surf qui dépasse du coffre (ou au volant de la 307 sur la Côte d’Azur à défaut…)
Année de sortie : 2012
Tracklist :
- Give a little more
- Damage control
- Look inside your heart
- Die a little
- If I never let her go
- Tears that I cry
- Bonafide
- Krazy world
- How to love again
- Afterworld
- Never ending war
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